Feuilles de route

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Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues [sous partie 3]

Mythologic Wars … Episode 2 : Oedrhugues  [sous partie 3] [pasque ça y est, les vacances sont finies et que je n'ai pas accompli tous les travaux qui m'attendaient … Héraklès, plombier d'Augias, file-moi des tuyaux ! .., y compris pour colmater cette histoire ! Voyons le bon côté des choses … fidélisons, fidélisons … feuilletonnons, feuilletonnons … d'où la nouvelle rubrique « newsletter » dans le blog. Et voilà pour la pub… parce que je le vaux bien !]

 

Oedrhughes, est donc recueilli par Phorbas le berger, qui croise Raigina, euh, non, Regina [qui veut dire « reine » en latin !] de Corinthe. Celle-ci est malheureusement aussi stérile qu'un hansaplast aquaprotect, alors, ni une, ni deux, elle achète le lardon voyageur à Phorbas, et elle le ramène à son mari Polybe, (non, pourtant, rien à voir avec le poneybe ) qui est tout heureux de cette progéniture tombée du ciel : « Amibe, - c'était le petit nom qu'il lui donnait dans l'intimité - me voilà père, enfin, sans que je le susse ! Loués soient les dieux ! Nous leur sacrifierons un poulet (mais on gardera la moto, hein !), nous garderons le secret de son origine, et nous aurons un descendant de lion, avec ce lardon, qui n'est pas laid, tu sais ! »

 

Or donc, les années passent et Oedrhughes grandit. [Vous êtes priés de remarquer que j'ai été brève et concise sur ce coup-là ! Ça s'appelle une ellipse narrative, quand on étudie les techniques de la narration …]

 

Il faut quand même que je vous dise, parce que cela aura son importance pour la suite, que ses parents avaient confié son éducation à un vieux sage.

Nain, la peau verdâtre, les oreilles pointues, c'était une sorte de schtroumpf vert sans bonnet [Soyons cohérents, s'il avait eu un bonnet, comment aurions-nous su qu'il avait les oreilles pointues ?]. En fait, j'aurais dû commencer par ça, ma description  eût été plus percutante  [ à l'imparfait, vous avez remarqué ? Toujours à l'imparfait les descriptions !!! ]. Il répondait, enfin, quand il entendait, car il était un peu sourd aussi (!!!), au doux nom de Iodaspokos et sa réputation dépassait de loin les limites de Startrekos, son village natal.

Iodaspokos était même un peu sorcier, mais ne répète pas cette confidence blogueur discret [Si tu es une blogueuse, donc de la gente féminine, je sais que c'est plus difficile pour toi de garder un secret, alors suis les conseils du sage Guitryos et trouve-toi des amies pour t'aider … ] : il se dit, dans les milieux autorisés, qu'il maîtrisait même les secrets de la téléportation .

 Ce pouvoir lui permettait de découvrir le secret des foyers grecs, secrets qu'il confiait à ses amis Ipsos et Lapeyros, de Guirec, village voisin de Startrekos.

Malheureusement pour lui, il est Grec ! [Relis la sous-partie 1, je vais pas recommencer, nanmého ! Par contre, je veux bien t'expliquer la raison de ce présent au beau milieu d'un récit au passé : c'est un présent de vérité générale.] Et malgré toute sa sagesse et son talent, Iodaspokos souffre d'un maléfice : il porte la poisse ! Ben voui, des dons, voui, des talents d'éducateur, voui, mais il transmettait sa poisse aussi, son pasdebolisme, sa guigne … ô lecteur, plains-le ! C'était comme une cerise, mais gâtée par le gel d'un rappel hivernal, sur le gâteau de son enseignement.

Iodaspokos terminait donc chaque leçon par ce cri languissant  qui fendait le cœur de ses disciples, émus par l'infâmie que la vindicte des dieux avait fait peser sur ses frêles épaules de nabot ; le lavabo lui-même se fendait le marbre à l'énoncé de ces simples paroles argentées dont les gouttelettes annonçaient l'or du silence terminal :

« Que la poisse soit avec toi, jeune Oedrhughes ! »

Bon, voilà, j'ai planté le décor, les sardines, les tentes, les personnages, l'ordi … Merci Iodaspokos ! La poisse est avec moi ! [… et s'il n'y avait que moi ! Demandez donc à Sofia, prêtresse de Clio ou plutôt, non, ne lui demandez pas, je ne voudrais pas que vos conduits auditifs fussent bouchés par une litanie d'insanités incongrues, voire grues tout court ! ]  

Alors on va peut-être se dépêcher de faire bouger tout ça. Je ne suis pas sponsorisée par Morphée, non, je suis comme Ben Hur, je n'arrêterai pas mon char. En thèse, je dirais : « Pas d'affolage ! »

Comme disait le grand tragédien Gabin'os, j'ai, prim'os, un bon scenari'os, secund'os, un bon scenari'os, et, terti'os, un bon scenari'os, donc, pas d'Os ! Pas d'Ulysse ! Pas d'Hélas ! Oedrhughes partira en vadrouille !

 

(A suivre …tu verras, blogueur, blogueuses [le –s, c'est à cause  de la réunion pour le secret de tout à l'heure], on va mettre un tit coup d'accélérateur à ce prologue un peu longuet, on va te préparer des spéciales, des accidents, des sorties de route, des rebondissements et tout et tout pour que tu reviennes tout ébaubi de cette aventure de stoquechars et que tu trouves que Taxisecundos, à côté c'est de la rigolade pour goss' ! Niiinnjjjââhhhh    Ipsos, si tu me lis, tu sais ce que ma télé portationne en ce moment … )

 

                                       Par : la déesse qui sacrifie aux dieux (e.)lares



21/04/2008
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