Feuilles de route

Feuilles de route

avril 2008

Voilà, la saga Malaussène se poursuit, avec le quatrième tome :

Monsieur Malaussène

Citations : "On a beau colmater, c'est toujours une surprise, l'étendue de notre ignorance"

                      "Ici, le plus sournois de tous les silences : l'embarras pédagogique."

Com' d'hab' ... le petit rappel ... pour inciter ceux qui ne le connaîtraient pas, à le découvrir :

Un maître : Danniel Pennac !

Re - Lu : 

"Côté famille, maman s'est tirée une fois de plus en m'abandonnant les mômes, et le Petit s'est mis à rêver d'ogres Noël.

Côté coeur, tante Julia a été séduite par ma nature de bouc (de bouc émissaire).

Côté boulot, la première bombe a explosé au rayon des jouets, cinq minutes après mon passage. La deuxième, quinze jours plus tard, au rayon des pulls, sous mes yeux. Comme j'étais là aussi pour l'explosion de la troisième, ils m'ont tous soupçonné.

Pourquoi moi ?

Je dois avoir un don..."  (Mot de l'éditeur)

Re - lu : 

" Si les vieilles dames se mettent à buter les jeunots, si les doyens du troisième âge se shootent comme des collégiens, si les commissaires divisionnaires enseignent le vol à la tire à leurs petits-enfants, et si on prétend que tout ça c'est ma faute, moi, je pose la question : où va-t-on ? " Ainsi s'interroge Benjamin Malaussène, bouc émissaire professionnel, payé pour endosser nos erreurs à tous, frère de famille élevant les innombrables enfants de sa mère, cœur extensible abritant chez lui les vieillards les plus drogués de la capitale, amant fidèle, ami infaillible, maître affectueux d'un chien épileptique, Benjamin Malaussène, l'innocence même (" l'innocence m'aime ") et pourtant... pourtant, le coupable idéal pour tous les flics de la capitale."  (Mot de l'éditeur)

Re - lu :  

"Clara qui se marie en blanc avec un directeur de prison de 40 ans son aîné, Benjamin qui démissionne pour la cinquantième fois, la Reine Zabo qui le rattrape pour la cinquante-et-unième et Julius, le chien, qui promène sa sagesse toute langue dehors : la routine, en quelque sorte, pour la tribu Malaussène  ! Mais voilà que le mariage déraille. Et Benjamin se retrouve embarqué dans une nouvelle histoire à dormir debout, l'une de ces histoires qu'il aime lire à toute sa tribu réunie en cercle autour de lui, le soir avant de dormir. Sauf que cette fois, tout est vrai..." (Texte accroche trouvé sur le site d'Amazon)

En cours : Monsieur Malaussène

Quatrième de couverture
- La suite ! réclamaient les enfants. La suite ! La suite ! Ma suite à moi c'est l'autre petit moi-même qui prépare ma relève dans le giron de Julie. Comme une femme est belle en ces premiers mois où elle vous fait l'honneur d'être deux ! Mais, Julie, crois-tu que ce soit raisonnable ? Julie, le crois-tu ? Franchement... hein ? Et toi, petit con, penses-tu que ce soit le monde, la famille, l'époque où te poser ? Pas encore là et déjà de mauvaises fréquentations ! - La suite ! La suite ! Ils y tenaient tellement à leur suite que moi, Benjamin Malaussène, frère de famille hautement responsable, bouc ressuscité, père potentiel, j'ai fini par me retrouver en prison, accusé de vingt et un meurtres. Tout ça pour un sombre trafic d'images en ce siècle Lumière. Alors, vous tenez vraiment à ce que je vous la raconte, la suite ? --Ce texte fait référence à l'édition Reliure inconnue . [Référence trouvée sur le site d'amazon.fr]

Et si pour une fois, la tribu Malaussène s'agrandissait par le fils, et non par la mère ? Et si Malaussène, rescapé, recousu, réanimé d'un précédent épisode (La Petite Marchande de prose) décidait de sauter le pas avec sa Julie d'amour, revenue elle aussi d'encore plus loin (La Fée carabine) ? C'est vrai que d'habitude, dans la tribu, on fête une naissance à chaque fois que la mère est amoureuse : elle part vivre son amour loin des yeux mais jamais loin du coeur, et puis elle "réapparaît", enceinte, pour repartir sitôt le petit nouveau bien arrivé. Mais cette fois, elle est revenue toute seule, désemparée et muette. Alors, c'est au tour de Ben de prendre la relève. Sauf qu'évidemment, à Belleville, ça ne peut pas se passer aussi simplement : sinon on ne serait pas chez les Malaussène...

Pour la quatrième fois, Pennac nous fait la grâce de redonner vie à son héros, et comme les enfants quand Ben leur raconte des histoires, on se surprend presque à crier "la suite, la suite  !". --Karla Manuele (Texte accroche trouvé sur le site d'Amazon)



02/04/2008
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